À partir de son histoire personnelle et de ses origines familiales Mzelle Flamenka a souhaité travailler sur le parcours migratoire qui amène des grands parents d'un endroit à l'autre puis qui nous ancre dans un territoire, une ville. Avec les 6e le voyage de Sicile en Tunisie à été travaillé en référence à l'odyssée. Avec les 4e c'est la traversée jusqu'en France et l'arrivée sur Nîmes, les émotions du désespoir à l'espoir d'une vie meilleur : bercer un bébé en lui souhaitant une belle vie, c'est envisager un avenir radieux.

À partir de ces tableaux les élèves ont approché le domaine du flamenco et surtout de la fabrication d'un spectacle : montrer, suggérer plutôt que dire. Une manière d'aiguiser le regard des élèves sur un spectacle de danse. Enfin, pour Chely, Nimoise enthousiaste, le souhait est aussi de faire réfléchir chacun sur l'importance de se sentir bien où l'on est sans renier d'où l'on vient. 

D'autres classes suivent pour cette semaine de spectacle vivant !